Guerre des Pictes (753-758)

An 753

En cet an de disgrâce 753, le Wessex, le Gwynedd et le Connacht attaquèrent conjointement les terres des Pictes. Les débarquements du Wessex provoquèrent une vive réaction de la part des troupes locales, qui opposèrent une résistance limitant efficacement l'occupation ennemie, progressant tout de même. À l'ouest, les débarquements se firent attendre, et ni le Connacht ni le Gwynedd ne rencontrèrent de résistance suffisante dans les territoires qu'ils attaquèrent respectivement, non loin des Hebrides. La population est là plus insoumise, mais leur nombre est largement insuffisant pour opposer une résistance suffisante.

An 754

Le Wessex rencontre une difficulté accrue, celle de la résistance populaire et des actions du clergé Chrétien local contre l'invasion. La population Picte prend les armes aux côtés de leur armée, qui défend suffisament bien leurs terres pour limiter grandement les progressions du Wessex au cour de l'année. Au nord, le facteur qui limite les avancées conjointes du Connacht et du Gwynedd est l'hostilité du territoire, relief accidenté et îles dispersées étant fort défavorables à la plupart des opérations, se soldant généralement par des gains Chrétiens. Les Hebrides sont presque totalement occupées, sur l'île principale aussi des avancées sont à constater.

An 755

La confusion règne sur le terrain dans les terres où combat le Wessex, la fidélité des troupes mises à mal par les missionaires Chrétiens oeuvrant en terres Pictes qui détruisent dès que l'occasion leur en est donnée les prétention des envahisseurs à la conversion. Les avancées, bien que moindres, ne sont atténuées que dans une moindre mesure. Les troupes du Connacht et du Gwynedd avancent conjointement à pas de tortue, consolidant leurs acquis avec une relative facilité mais pouvant difficilement joindre les terres occupées par le Wessex, encore beaucoup plus au sud.

An 756

Le Wessex continue de prendre petìt à petit quelques poignées de terres de faible taille au fil des semaines et des mois, faisant face à la forte résistance populaire, armée et religieuse. Au nord, le retrait de troupes du Gwynedd entraîne une forte instabilité des terres conquises; par conséquent seul le Connacht pu faire quelques avancées, même là modestes. Les zones d'occupation du Connacht se rapprochent inexorablement de celles du Wessex.

An 757

Des renforts permettent d'éviter l'hécatombe dans le nord, alors que la population commençait à profiter de l'absence de troupes ennemies pour se mobiliser. Des renforts tardifs permettent de limiter les dégâts. Le Wessex continue ses lentes avancées, les armées Pictes ne faiblissant toujours pas. Environ la moitié des terres Pictes est en ce moment sous occupation ennemie, et les prochains mois seront cruciaux, pouvant faire facilement basculer le tout en faveur des envahisseurs.

An 758

Implosion de la défensive Picte. Le déferlement Chrétien qui s'en suivit fut tel qu'il ne permit guère de consolider les terres conquises, qui après le passage de l'envahisseur en profitèrent pour se rebeller. Le Wessex rejoignit le Connacht et le Gwynedd, et toutes les terres Pictes ou presque furent prises par ces nations le temps de quelques semaines avant que ledit territoire ne se transforme en véritable passoire d'enclaves de rébellions.

Le roi Picte demande à tout son peuple de résister à l'envahisseur. Que soldats, enfants, vieillard et femmes rendent les coups à ses hérétiques qui attaquent un peuple qui vivait en paix sans déranger personne, un peuple porter vers la Foi.

Le roi Picte fait une demande au Saint Siège de punir ces royaumes qui attaque un territoire chrétien sans raison, qui massacre les enfants de l'Eglise

Il semblerait que le roi de Bretagne avait vu juste concerné l'envie territoriale et de trahison qui animait l'alliance formée autour du Wessex et des vikings.

Je ne crois pas le Khanat Khazar n'a serait-ce qu'eus vent de cette guerre, vu la distance, et donc la non-pertinence de sa déclaration.

HJ : Vous pouvez en revenir maintenant, vous n'êtes plus la Bretagne vous n'avez à prendre parti pour personne, et dois-je vous rappeler que ce que vous faites subir aux barbares qui vous entoure est bien pire.

Hj: je parle en tant que Khan, pas en tant que roi de Bretagne, et je peux parler de ce qui me plaît.

Le Khan a dû utiliser la nécéssité et avait ses raisons de tuer les Mordves puisque ses diplomates n'ont toujours pas été retrouvés...

Mais il constate bien la soif de sang qui anime le nord.

Ce n'est pas une soif de sang, nous avons ordonné à nos hommes de tuer oou de faire prisonnier la résistance, pas la quasi-totalité de la population. Peu inportent vos tetatives diplomatiques, le massacre que vous avez fait est impardonnable.

Qui se préoccupe du Khan? Chose certaine, il parle de non-sens comme tous les autres paiens.
Seuls le Wessex et ses alliés ont raisons dans ce conflits.

Il s'agissait de paiens, paiens que vous pardonnez plus vite que les civilisés apparemment...

La moitié des mes troupes rejoindront l'armée du Wessex, l'autre moitié prendra le Nord qui reste insoumi.

1200 soldats chez les Pictes seront retirés dont 800 ayant continué au Nord et 400 tentant de rejoindre les troupes du Wessex, ces soldats iront supporter les Viking en Livonie.

Mes troupes convergeront vers celles du Wessex comme prévu dans le plan d'ensemble.

Peuple Picte, je vous demande de résister encore plus, au Nom de Dieu, rejetons ces impies de nos terres. Mais le Saint Père est contre cette attaque. Montrons leur notre force.

Le roi Picte réclame aussi que son allié le Strachlyde le rejoigne dans cette guerre

Combien de nos hommes sont morts?

Au cour des quatre dernières années, environ cinq cents.

j'envoie donc 500 hommes supplémentaires, 400 pour le maintient de la paix dans le Nord et 100 pour venir en aide au Wessex.

Le roi Hoel,prince d'Arberffraw demande au Strathclyde d'honorer sa promesse faite il y a une trentaine d'années dans la guerre en Irlande et de venir nous aider.

300 autres soldats seront envoyés en renfort, 200 pour protéger les nouveaux acquis de cette année et le reste rejoindra le Wessex.

Où sont passés les renforts du Cornwall?

Faute de directives précises, ces troupes évoluent parmi celles du Wessex, maintenant la paix en terres occupées. Leur nombre est restreint.

Quant au Strathclyde, il refuse toute implication contre son allié Picte!

Toutes mes troupes resteront pour contrer les révoltes. Mes aliés ont-ils des renforts pour conpenser les pertes?

Mes troupes resteront également le temps que la situation se stabilise...

Les miennes également.