Deuxième Guerre des Avars (745-758)

An 745

Après avoir soumis grande partie de leur peuple, les Italiens lancèrent à nouveau les hostilités contre les Avars. Cette première année de conflit ne fut pas de tout repos; les terres Italiennes en cette région n'étant pas des plus stables, les Avars du coin en profitèrent pour se rebeller, minant les avancées des troupes Italiennes qui ne purent même pas joindre le front. Les révoltes se propages comme une traînée de poudre, et les troupes mobilisées sont insuffisante à maintenir le contrôle sur ces terres dépourvues d'infastructures.

An 746

Les Italiens s'afférèrent en nombre insuffisant à remettre de l'ordre dans les terres qu'ils avaient conquises; sans succès. La population Avare, en grande majorité non convertie, profite d'un inéluctable avantage sur le terrain et du manque d'appropriation des terres dont les Italiens ont fait preuve au cour des dernières années. Les rébellions purent du moins être limitées et consignées à une région particulière, qui bien que vaste constitue en soit un grand avantage pour les Italiens qui auraient dans le cas contraire risqué beaucoup plus.

An 747

Les Italiens reprennent lentement le dessus et réussissent à contenir les Avars révoltés, lentement apaisés. Le calme serait revenu si ce n'aurait été de l'opportunisme Magyar, qui en profitèrent pour migrer à l'ouest, hâtisant les tensions et provoquant de nombreux affrontements avec les troupes Italiennes qui en trois ans de guerre n'ont toujours pas atteint le territoire ennemi.

An 748

Des renforts Wisigoths joignent les Italiens vers la moitié de l'année, Italiens qui affrontent toujours en leurs propres terres des envahisseurs Magyars, qui plus ou moins contenus peuvent être en quelques régions repoussés. Les terres Avares inconquises peuvent être attaquées au cour de quelques percées Italiennes, mais rien qui ne déclenche véritablement l'invasion telle qu'elle était prévue.

An 749

Les Italiens réussissent de par leur nombre et leur seuil technologique à triompher des agitateurs et autre barbares envahisseurs, et ce même si le désavantage du terrain est criant. Les frontières Avares sont atteintes, mais des attaques massives à cause de la résistance intérieure et des frappes Magyares ne peuvent être lancées comme voulues. Les Magyars accentuent leur mouvement migratoire malgré que les victoires Italiennes à répétition lors des affrontements continuels au cour des dernières années.

An 750

Les Italiens concentrent leurs actions sur la consolidation de leurs territoires et sur la conversion des populasses Avares païennes pour la plupart encore révoltées. Grâce à l'avantage de leur nombre, les Italiens conservent la mainmise sur ses terres Avares, conservant d'une main de fer ce qui semblait lui échapper deux ans auparavant seulement. Les Magyars sont contenus, mais continuent de provoquer des agitations.

An 751

Essoufflement des frappes Avares; les Italiens déferlent en leurs terres pour reprendre ce qui était occupé avant la vague de rébellion des dernières années. Les tensions diminuent, les révoltés perdent l'espoir du succès de leur soulèvement mais ne sont guère davantage ouverts à la conversion; l'envoi de quelques missionaires, malgré la présence armée Italienne, fut sans succès. La logistique est désormais suffisante à frapper les terres barbares outre-frontière, si l'ordre en est reçu.

An 752

Retrait des troupes Italiennes. Les rébellions continuent de diminuer en occurence; le calme semble être revenu en terres Italiennes d'Avarie. Les Magyars en profitèrent pour recommencer leurs frappes, et firent de nombreux percées dans le nord-ouest des terres Avares de l'endroit, progressant en opposant une très faible résistance Italienne. Les forces Chrétiennes foncèrent au nord pour limiter l'invasion; s'en suivit une nouvelle vague de rébellion (d'ampleur fort minime et éphémère) dans le sud jusque là stabilisé.

An 753

Les migrations Magyares s'accentuent; de larges terres ouvertes où l'opposition Italienne est absente acceuille le peuple Magyar massivement. Un front ténu semble se dessiner; les troupes Italiennes peu nombreuses contiennent de leur possible les envahisseurs. Le peuple, quant à lui, en profite pour faire des leur, surtout dans les zones de combat. Malheureusement pour eux, les Magyars ne font aucune distinctions entre les Avars et les Italiens.

An 754

Les Magyars atteignent la frontière Germanique, causant quelques frictions, mais les Magyars tendent à concentrer leurs avancées directement sur les Italiens, qui acculés à l'ouest sont forcés au repli vers le sud. Les Avars d'Italie migrent aussi vers le sud, fuyant les attaques violentes des Magyars. Les troupes Italiennes sont si peu nombreuses que ce flux migratoire perturbe toute tentative d'opposition au déferlement Magyar persistant.

An 755

Renforts Alémans, qui permettent temporairement de protéger la Germanie des attaques Magyares, les contenant avec peine. La conséquence fut la suivante; les Magyars se concentrèrent là où la résistance était la plus moindre et où le peuple était le moins prompt à la résistance, c'est-à-dire dans les terres Italiennes plus au sud, conquises à la fin de l'année presque en leur intégralité.

An 756

Les Alémans sont incapables de repousser les Magyars de manière optimale et permanente, ne faisant que les contenir dans une bande de terre raisonnable à la frontière Germanique, pour empêcher toute intrusion. Les combats y font rage avec intensité et sont riches en victimes. Toutes les terres Italiennes en Avarie sont tombées sous le joug Magyar; les migrations d'accélèrent à vive allure et bien des Avars migrent à leur tour vers l'est, vers les terres quittées par les Magyars. Les Italiens tentent de contenir l'ennemi de par les terres Slovènes.

An 757

Des renforts massifs permettent aux Italiens de reprendre de nombreuses terres laissées libre aux Magyars au cour des précédents mois. Ces derniers sont fortement déstabilisé et ne font presque aucune progression au cour de l'année, ne faisant que résister aux attaques répétées des Italiens qui avancent sur des terres complètement dépeuplées. Incursions Magyares prolongées en Bohême, activités du même type empêchée en Alémanie malgré une frappe de plus grande ampleur.

An 758

Les Germains mobilisent leurs effectifs à repousser les envahisseurs Magyars. Le résultat est impressionant, l'ennemi repoussé sur plusieurs dizaines de kilomètres en quelques semaines, tandis qu'au sud et à l'ouest Italiens et Alémans vécurent des avancées similaires. Les migrations Magyares s'essouflent, mais au coeur des terres conquises leur présence est toujours menaçante. Déjà les combats, au départ à l'inéluctable avantage des Chrétiens et de leur renforts, deviennent plus difficiles.

Si les Avars acceptent de s'unir avec le territoire actuel italien avars, une nation civilisée catholique sera créée. Voilà l'objectif de l'Italie, et non d'assimiler ce peuple qui n'est, je l'accorde, en toute différence de celui de l'Italie.

Les Wisigoths offrent leur soutien à leurs alliés italiens.

Je remercie les wisigoths, toute aide sera la bienvenue!

Combien avez-vous envoyé d'hommes?

30 000

D'accord, j'en envoie donc 5 000 pour la cause.

Annulation des ordres de départ.

Nouveaux ordres provenant directement du Roi :

- Concrétiser les positions italiennes dans le territoire déjà conquis.
- Éliminer tout opposants
- Convertir la population

Donc, vous abandonnez l'offensive?

Je n'ai pas le choix avec les magyars qui migrent dans mes territoires et la population instable.

Nous n'enverront aucuns hommes outre territoire italiens en ce moment. Que les hommes reviennent. Mais que 4000 restent jusqu'à la fin des révoltes.

Je rappelle ainsi donc les miens.

Nous demandons à discuter pacifiquement avec le peuple Magyar.

Nous voulons tout d'abord savoir pourquoi ils nous attaquent lorsqu'ils sont la bienvenue dans des terres fertiles et possibles de coloniser.

Les Magyars conserveront les terres qu'ils vous ont prise et n'iront pas plus loin, si vous leur offrez l'équivalent d'une année de vos revenus en or.

Sans quoi l'ouest attend les Magyars, terres riches, ils l'ont vu en Bohême, lesquelles ils comptent bien s'approprier.

Je voudrais voir tout d'abord les dites terres.

Si vous acceptez, je demande un cessez-le-feu durant les négociations...

J'envoie 4 000 Alémans soutenir l'italie.

Royaume d’Italie a écrit:Je voudrais voir tout d'abord les dites terres.

Si vous acceptez, je demande un cessez-le-feu durant les négociations...

Les Magyars voudraient-ils nous répondre...

Je demande le renfort slovène puisque les magyars refusent de discuter!

Les Slovènes refusent d'envoyer leurs troupes à l'abbatoir; pas tant que vous gardez sur le terrain des effectifs aussi ridiculement réduits!

J'accepte de signer un traité de paix si vous prenez les conditions de 754.

Notez que si vous refusez, j'enverrai toutes mes armées.

Nos 4000 Germains, qui connaissent bien les MAgyars pour les avoir déjà affronter, ont ordre d'envahir leurs terres et d'assister les Alémans.

Nous refusons d'abandonner et de signé un soit disant traité de paix!

Ils ont assez tué de chrétiens, je ne laisserai pas pareille barbares avoir le dessus sur nous!

800 Soldats Alémans sont demander en renforts, bref le reste des troupes d'Alémanie.

200 Hommes du hambourg sont demander à venir nous pretter main Forte.

Nous encourageons les Slovènes à venir ce battre à nos côté: rapeller vous Roi de slovène, quand nous avons combattu ensemble contre la puissante Bavière! Elle n'a rien pu faire fasse à nous 2 réunis.Refesons l'exploit cette fois si en combattant pour la Gloire du Seigneur!

Finalement, je refuse et j'envoie finalement 16 000 soldats.

Nous envoyons 2000 Soldats supplémentaires.

Cher allié italien, vous êtes pieux de vouloir ainsi faire se propager notre religion en terres barbares. Par contre, bien que ce ne soit pas directement de mes affaires, je voulais vous faire part de mon inquiétude par rapport à votre dette grandissante. J'espère que vous ne vous servirez pas d'une telle excuse pour esquiver les démarches défensives des catholiques advenant un Jihad. En signe de bonne volonté, je vous propose encore mon aide. Avec l'approbation de mes alliés, je vous enverrai des soldats si la situation ne tend pas à s'améliorer à court terme.